Les acariens

Ah, les acariens, tu vois, je les considère comme les squatters invisibles de nos maisons. Ils sont là, à se reproduire et à festoyer dans nos literies sans qu’on s’en aperçoive. Moi, je préférerais qu’ils payent leur loyer en sommeil paisible, sans rhinite allergique.

Dès que je pense à ces minuscules locataires, je me gratte, je me contorsionne, et je deviens parano. Ces acariens, c’est comme s’ils avaient un abonnement illimité à mon insomnie. Alors, tu vois, je préfère mille fois un bon sommeil à des bestioles en mode « parti perpétuel » !

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